Les yeux sensibles

Faire dialoguer l’écriture et les arts visuels (photographie, peinture, collages…) dans un travail de création partagée, c’est augmenter la sensibilité du regard. Écrire à partir d’une œuvre – même produite en amateur –, c’est selon la formule d’Arthur Rimbaud, « se faire voyant ». Une manière de mieux comprendre, c’est-à-dire de « prendre avec soi ».

Deux déclinaisons possibles :

Les yeux sensibles

Dialogue entre poésie et photographie

Il s’agit d’un projet d’écriture mêlant écriture et arts-visuels (photographie).
Ce projet permettra à des jeunes ou moins jeunes, de produire des textes poétiques, entrant en résonance avec des photos insolites prises préalablement dans un espace proche, voire connu, puis de concevoir l’exposition des diptyques photos/textes et son vernissage actif.

Ce projet nécessite au minimum 4 séances de travail avec les artistes (soit 8 à 10h)

Les expoétiques

Dialogue entre poésie et peinture (ou sculpture)

Il s’agit d’inviter à écrire des équivalences poétiques à des œuvres exposées dans une exposition, un musée.

En effet, toute œuvre est une invitation à créer soi-même mais l’écriture est un facilitateur pour entrer dans l’œuvre d’un autre.

On peut envisager une journée d’animation d’atelier pour des groupes constitués et/ou mettre en place un dispositif d’écriture autonome, sur une période donnée, pour des visiteurs occasionnels.